happy days

Marée basse

Posted on: 27 Mai 2014

Myles Birket Foster children playing at low tide

Myles Birket Foster children playing at low tide

La vase satinée
Odorante et collante
Serpente
Sur le sable mouillé

La carte d’ un monde
Imaginaire
Se dessine à mes pieds

Des bulles d’ air
Irisent sur l’ onde
Ridée

Et je sais
Alors
Où trouver
Un trésor
Des coques dentelés
Petits bateaux
Sous l’ eau

Qui attendent la marée
Pour aller naviguer

Chacun de mes pas
Fait ruisseler la mer
Et mes traces éphémères
S’effacent derrière moi

(copyright)

45 Réponses to "Marée basse"

Bonjour Dominique , j´ai essayé de retrouver tous les souvenirs que l´on a des plages à marée basse , après tout ce que vous avez évoqué .
Les petits crabes égarés , les fins tubes rigides laissés par des vers de sable (?) , une sandale d´enfant , , les bois flottés parmi les algues …
Et puis les morceaux de verre polis , de toutes les couleurs . Nous avons un vase rond , plein de grains de café (coquillages ) et de verres
polis . Même des roses et des bleus ! C´est joli , et nous rappelle
Roscoff , Kervay , Le Guillvinec , l´île de Batz , etc…etc…
Je vais regarder maintenant les œuvres de Myles Birket Foster .Bises .

Darie, la plage est un bonheur infini !
Bises.

Quel talent chez ce peintre . Il maitrisait tout . J´aime beaucoup les tableaux avec des bâtisses , chaumières , même de vieilles masures , et puis Oxford , Venise , Tolède ( The Market is for sale , et il me plait :-))

C’ est un artiste, chère Darie qui représente bien les talents et les goûts de la GB, à son époque et même au-delà.
Oui, une manière et des sujets comme on aime !

Bonjour les amis poètes,

Je reviens de la galerie de ce peintre talentueux, de vraies cartes postales anciennes, tout est vivant et gai, paisible et rassurant, on pourrait dire, comme pour le sable et la mer, un mouvement immuable.
C’est peut être ce qui nous fait dire souvent « c’était mieux avant » ?? je me pose une question, faut-il peindre ce que nous voyons ou bien ce que nous ressentons ?

Je fais souvent le rêve que l’on vide les mers et les océans pour y découvrir le plus grand cimetière de tous les temps jusqu’au départ de l’humanité, j’en suis persuadée mais voilà ….en attendant, pauvres de nous si petits, nous nous contentons de ramasser quelques coquillages ou des cailloux aux jolies couleurs marbrées et nacrées. J’aime bien écrire sur la sable mouillé, on remonte s’asseoir sur la dune et on attend que les mots s’effacent dans les vagues.

Dominique, je crois qu’un des plus jolis mots de la langue française c’est celui « d’éphémère » jusqu’à l’insecte de ce nom, des ailes vertes ou bleues pour vivre seulement quelques heures.

Bises et amitiés

Chère Monique, on ne se casse pas la tête, on apprécie d’ être là ici et maintenant, on ne vide pas les océans, on ne se dit pas « et après », NON, on est bien et content de l’ être !
On est peut-être « si petits » mais bien plus grands que les éphémères…
ET BISES.
Vous venez, on va se tremper les pieds !

Oui, mais alors juste les pieds !!! l’eau est trop froide. Nous allons faire comme ces crustacés térébrants, nous allons marquer notre passage dans la pierre plutôt que le sable ! rire !

Allez, à la flotte ! RIRE

La Marée … connais pas !
En Corse, 40 à 70 cm et pas plus, on a toujours les pieds
dans l’ eau et c’ est d’ ailleurs pour cela que nous sommes
fréquemment appelés … des insulaires, si si !
Chez nous, lorsque l’ on pêche, on ne va pas à la cueillette
et en plus toujours à sec, on ne se mouille donc pas et oui,
point de pluie ou si peu, sur nos 1040 Km de côtes, autant
que de Perpignan à Menton, qu’ on se le dise …
La Mer, qui nous cerne, turquoise et iodée, nous apporte
les meilleurs produits de Méditerranée et en plus, notre
région entourée d’ eau, la préserve aussi, des niaiseries
de nos gouvernants, en matière de nouvelle identité
régionale et à ce sujet j’ ai découvert en moi une touche
d’ Asie, m’ étant surpris à rire jaune, incroyable, je sais,
comme quoi, c’ est bien l’ Universalité qui nous guette,
d’ ailleurs, regardez bien autour de vous, elle est déjà en
marche, un picard avec une bouteille de Champagne à la
main, c’ est pour demain et si autre que blanc à contempler,
c’ est qu’ alors du SUD de la région, il sera, celle la moins
exposée aux caprices du Temps !
En définitive aussi de rire, nous n’ avons pas fini, pas vrai
les p’ tits potes culturés, dites z’ avez lu, pas vilain ce poème
vaseux et puis en plus … non Haïku !!!

Bon, tout est dit !

En fait, seule la conclusion de mon petit commentaire
ne vous intéressait, très chère … non Haïku !!!
Que le poème soit vaseux, vous n’ avez pas même relevé,
normal me direz vous, de la Manche vous êtes, vous
en connaissez donc les boutons et bords, comme
d’ autres du Nord, en connaissent si bien les ornières …
Décidément, je ne comprendrai jamais pourquoi
Nord Pas de Calais et Picardie, n’ ont pas fusionné !!!
Regardez en Corse nous balançons les 2 Départements
et nous établissons une région européenne grandiose
de 300 000 h, soit un quartier de Marseille, mais attention,
avec 4 ports internationaux, ainsi que 4 aéroports du
même accabit aussi, mais aussi un endémique rose
convoité par tous les félins de la Planète, pas vrai ?

AH AH il est légèrement en manque notre copain Yannick dit « rat rose » quand j’ ignore ses TPS (Très Petits Scuds) !
Plus sérieusement, je pense que la Picardie et le Nord-Pas-de-Calais auraient pu donner une belle grande région, pour des raisons économiques, territoriales mais aussi historiques.
Et le picard, et le chti ont des « sons » pas si éloignés.
PS: le rat rose endémique n’ est pas convoité seulement par tous les félins de la planète…HURLEMENT de RIRE
Il est content le Yannick ?

Mmmmmmoooooooouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Mmmmmmoooooooouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
 » Trés p’ tits SCUD « , mais vous n’ avez pas honte,
de pareils Missiles Ballistiques de haute Technologie
virtuelle, de  » trés p’ tits SCUD « , non mais, j’ en suis là
soufflé, que dis je, éteint même, cela me laisse sans
voix, I-Phone je suis, pardon aphone, mais non sans
écrits !
Je disais tout à l’ heure à Dominique, que si j’ avais
2 épaules, si si, je crois, je n’ en avais pas moins un
Apple aussi, okazou …
Je sais esprit simple, mais qui ne peut plus s’ exprimer
ailleurs, faute d’ être compris, peut être que je suis trop
en avance sur mon temps, curieux, pour le passéiste
que je suis …

Bon, tu as bénéficié d’ une fenêtre de tolérance ici (et non d’ une maison) pour exprimer tes frustrations concernant un autre lieu d’ expression,
maintenant, on en revient à nos moutons.

Tu as bien raison …
Dis, Dominique,
il est plutôt vaseux,
ton essai, tu sais ?

Oui je le sais puisque c’ est moi qui ai écrit cette poésie; autre chose ?

Ils sont … GENIAUX … tes poèmes,
mais cela, si si, c’ est notre secret !
Pas vrai les p’ tits potes qu’ entre elle et moi,
cela doit rester, hein hein, que j’ ai raison ???

Oui Yannick, la Picardie reniée, la Picardie effacée, la Picardie découpée, mais la Picardie ivre ! quel destin ! ça m’étonnerait que les picards se laissent outragés sans broncher, moi j’entends une certaine forme de contestation mais sur la bouteille, les picards battent tous les autres ! sans rire, dans quelques décennies, on pourra se trouver dans n’importe quelle région, nous serons tous pareils en ressemblance, tous identiques. Moi j’aime bien les haïkus, ainsi

La mare à mousse
le varech à mouches
les moules baillent aux mouettes.

Quoi, c’est moche ???

Non Monique, on ne peut pas vraiment dire que c’ est moche, en revanche c’ est quand même plutôt bizarre… RiiiiiiiRE

Une mouche à …mousse
ses ailes brillent au verre
ses pattes trempent dans la mer
de bière
une moule de bouchot
fixe l’ horizon
du rivage
voyage d’ un coquillage
dans sa tête
et la Picardie
(moine picard anonyme 873-978)

Juste un p’ tit mot informatif, pour vous signaler que je m’ écarte
un peu du Réseau, ben oui, Marée haute là aussi, étant lassé de
me voir rejeté à tout bout de pré aux biques, pour … rien du tout !
Merci donc à Dominique, de laisser cette petite parenthèse, là,
ouverte, un temps du moins, afin que vous ne vous étonniez pas
de mon Droit de Retrait, suite à cet outrage virtuel !

Bien compris, STOP… refus en chapelet est mauvais pour le moral et la patience…. faisons de la résistance STOP ! la mienne, c’est disparition du mot abonné et PAF. Je refuse d’être muselée alors que d’autres commentaires sont publiés. Depuis que j’ai l’âge de penser, j’ai horreur de l’injustice et des préjugés.
Ici, on est bien et en plus on dit ce qu’on veut, même des bêtises ! oui, voyons où en est notre poésie ?

Hé Hé, je passe relever les filets et je constate que la pêche est bonne !
Salut les amis !!!
Je ne suis pas la dragueuse du Nord, ni une perle, non je ne m’ enlise pas dans des propos vaseux, je reprends les vôtres HA HA.
Monique, au Crotoy les marées ramènent la mer deux fois par 24 heures ?!
Yannick et Darie, je n’ ai rien à ajouter si ce n’ est qu’ un homard du cap Gris Nez est au réfrigérateur, le nez sur le pot de mayonnaise.

Aahh bon … encore cette raison vaseuse …. puisque c´est le mot-clef du poème :-))… Ne nous laissons pas enliser dans des sables mouvants . Moi , je recommence à poster , et si cela coince sans pitié ,
je me dis que je rame à contre-courant , et plutôt que de rester en rade sur le sable , je repars avec la marée montante . Belle métaphore ,
n´est-il point ?… rire .

Mais en Mer Méditerranée, Darie, la marée n’ est là
point suffisante, 40 à 70 CM … et pas plus !
C’ est que j’ ai un plus fort tirant d’ eau moi,
vous savez, un Porte Avions du Virtuel,
que je suis, pas une barcasse !

Bonsoir Dominique , Yannick . Pas une barcasse ? Alors une bisquine de Paimpol . C´est beau , une bisquine , avec la voile rouge foncé . On les remet à flot , il me semble . Restaurées , repeintes à neuf , les connaisseurs ( vous êtes un peu de là-bas , n´est-ce pas ) font des petites régates de bisquines maintenant .
C´est moins sportif qu´au grand large , mais c´est beau , vu de la plage !

Darie, je fais ma (nouvelle) savante, les bisquines sont des voiliers de pêche, très toilés, servant à draguer les huîtres sauvages, région Bretagne.

Dans mon jeune temps, je n’ avais point besoin de toile,
pour draguer, et les mines … elles tombaient … si si !!!

Curieux, vraiment, qu’ un tel commentaire n’ apporte pas
un tsunami de réactions et son tonnerre d’ exclamations !

Nous avons de la retenue, Yannick !

Bonjour Dominique , des huîtres sauvages ? C´es vrai qu´il y a des moules , des praires sauvages , alors pourquoi pas des huitres aussi .
C´est dans les huitres sauvages qu´on a des chances de trouver des
perles alors ? C´est vrai que si on prend au sérieux l´histoire du malheureux pêcheur de Steinbeck (  » La perle  » ) , il ne faut pas
espérer en trouver 🙂 J´ai lu ce livre l´an dernier seulement . C´est prenant , mais fataliste . J´aimais mieux  » La jeune fille à la perle  » .
J´ai tellement bien imaginé les scènes du livre , que je suis incapable de dire si j´ai vraiment vu le film ou pas ! C´est-y pas incroyable ?…
Bonne journée , et bise . J´aime bien votre blog !

Bon, ici c’est un resto de poisson ou bien un lieu poétique ? D’accord avec Darie pour « la jeune fille à la perle », j’aime bien cet auteur, Tracy Chevalier, mais son livre « prodigieuses créatures » où elle retrace la vie de Mary Anning m’a légèrement ennuyée. J’ai eu la sensation d’être aussi un fossile et je me suis dis attention danger !

Pourquoi ne pas parler de la vase, du varech couvert de mouches sous le soleil, euh, et il y a un excellent resto à St-Malo qui s’appelle « la bisquine » ! pour les pêcheurs, j’ai en tête l’opéra de Georges Bizet « pêcheurs de perles » avec ces vers sublimes :

« je crois entendre encore, sa voix tendre et sonore comme un chant de ramier, ô nuit enchanteresse….etc » bon, d’accord c’est dépassé mais c’était juste pour mettre de la musique !…. et pour le film du cinoche de papa, « La perle noire » 1953, avec mes acteurs bien aimés, Stewart Granger et Robert Taylor, je n’aurais su choisir lequel, j’en pinçais pour les deux.
Les amis, je n’ai rien trouvé sur la vase !

Monique, vous avez là raison, nous semblons être
tous en vase clos, c’ est donc là, que le sujet avait
donc besoin d’ être dragué, afin d’ y voir plus de
clarté en ce poème, afin d’ y dénicher une perle !

Yannick, c’est quand on a épuisé toutes les huîtres que l’on trouve la perle, celle du fou rire, facile à trouver, gratuite, et ça remplace un bifteck dit-on. Le vase clos, voilà une issue de secours. Une anecdote avec les marées, un jour nous partons au Crotoy pour une journée avec les gosses et nous arrivons à marée basse ! quelques heures après et c’était toujours marée basse, les gosses assis dans le sable en maillot de bain disaient, dis c’est quand qu’elle arrive la mer !
Hélàs, nous avons dû repartir en fin de journée sans jamais avoir vu la mer et depuis l’idée est restée, on se souvient, jamais plus au Crotoy !

Cela m’ est arrivé à Colleville, y arrivant le soir avec soeur
et frère, 13 ans pour moi et 6 et 7 de moins pour eux, on est
allé jouer sur la plage, pendant que les parents s’ installaient
en location et le matin au réveil, on y est retourné, mais elle
n’ était plus là, les deux morveux me regardaient interrogateurs,
je dois dire que je savais quoui leur répondre, mais les parents
m’ ont vite tiré du pétrin en nous disant, mais la mer, les enfants,
elle est là-bas, au loin !
Incroyable !!!
Elle avait bougé, du jamais vu, même en Corse !!!

La marée , surtout quand elle a une forte amplitude , rend la mer très
vivante . Les 2 visions sont totalement différentes . J´aime bien les immenses plages du Nord avec les bâches où l eau est chaude .
Mais sur l´Atlantique , la mer monte par à-coups , et sur une plage basque , tous les estivants , dos au mur , avec les vagues à 5-7 mètres restaient sereins … et brusquement , panique à bord , au bord de l´eau plutôt , une grosse vague a balayé sacs , serviettes , chaussures . La mer est traitre , la vase aussi .
Confer  » L´enlisé  » du Mont-Saint-Michel … C´est l´accident qui me faisait le plus peur , étant jeune , je ne sais pas pourquoi … une vie antérieure peut-être …
Yannick ! Savez-vous ce qu´est  » la dragueuse  » dans le Nord ? hé-hé .
Non-non , ce n´est pas celle qui se promène innocemment sur la plage, respirant l´air du large à pleins poumons ….

Moi, la bâche, même dans la Méhari l’ Hiver,
je ne la met plus, lorsqu’ il pleut, je ne sors
qu’ avec la cagoule, sans le treillis, juste en
combinaison de plongée, moins les palmes,
car pour conduire, cela est malaisé !
Une dragueuse, mon homologue peut être
au féminin, mais non, non non, vous me dites,
alors peut être une machine pour enlever la
vase du fond des ornières, pour les rendre
plus propices à la baignade, c’ est que savez
vous, Darie, en une moyenne, si si, on peut y
tremper, 2 yorks, 1 SDF canin et … Dominique !!!

Une dragueuse , c´est carrément un bateau au moteur puissant , qui ramasse la vase dans les chenaux , entre la mer et le port .
Mais vous m´emmenez en bateau , je le vois , descendant de sous-marinier breton , vous le saviez certainement … rire .
Bain de boue pour les 3 loustics ? Mais c´est le remède ad hoc contre les parasites ! Parfait ! Pour Dominique , seulement le visage pour avoir un teint de pèche , euh pardon , …. de pêche !

Merci beaucoup l’ amie Darie, mais pour mon joli teint, je ferai l’ économie d’ application de boue…^^

Hep, le moine picard, c’est St-Médard et c’est demain les p’tits potes !

Allez Monique, on laisse la parole aux Frères Jacques :

A la Saint-Médard mon Dieu qu´il a plu
Au coin du boul´vard et de la p´tite rue.
A la Saint-Médard mon Dieu qu´il a plu
Y aurait pas eu d´bar on était fichus!
A la Saint-Médard mon Dieu qu´on s´est plu
Tous deux au comptoir en buvant un jus.
A l´abri dans l´bar on s´est tell´ment plu
Qu´on est sorti tard quand il a plus plu.

Quand il pleut le jour de la Saint-Médard
Pendant quarante jours faut prendre son riflard.
Les marchands d´pépins et de waterproufs
Se frottent les mains, faut bien qu´ces gens bouffent!
Dans notre petit bar on se retrouvait
A midi un quart et on attendait.
Quand il pleut dehors, dedans on est bien
Car pour le confort, la pluie ne vaut rien.

Pour tout arranger il a encor plu
La Saint-Barnabé oh ça tant et plus!
Pour bien nous sécher au bar on a bu
Trois jus arrosés puis on s´est replu.
Saint-Truc, Saint-Machin, toujours il pleuvait
Dans le bar du coin, au sec on s´aimait.
Au bout d´quarante jours quand il a fait beau
Notre histoire d´amour est tombée dans l´eau.

Alors puisqu´il pleut des  » cats and dogs  » , Dominique , vous nous a appris cela , voilà la solution du grand Georges :

Il pleuvait fort sur la grand-route
Ell´ cheminait sans parapluie
J´en avais un, volé, sans doute
Le matin même à un ami
Courant alors à sa rescousse
Je lui propose un peu d´abri
En séchant l´eau de sa frimousse
D´un air très doux, ell´ m´a dit  » oui  »

Un p´tit coin d´parapluie
Contre un coin d´paradis
Elle avait quelque chos´ d´un ange
Un p´tit coin d´paradis
Contre un coin d´parapluie
Je n´perdais pas au chang´, pardi

Il n´y a pas de problème , il n´y a que des solutions !

Darie, voilà qui trouve bien sa place à la saint-Médard !
Mais où sont passées les bonnes chansons françaises, gouailleuses, spirituelles, bien tournées ?
OU ???

ah, quel souvenir ces Frères Jacques, j’adore la chanson ! c’est souvent, en France, qu’on est foutu quand il n’y a pas un troquet, on le préfère nettement au pépin ! c’était un certain esprit de l’époque, léger et gouailleur, je crois que la nôtre est moins souriante.

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