Haïku de printemps (4)
Posted 14 juin 2014
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Dans la lumière de l’ été
le printemps est passé
du vert
à l’ or
(copyright)
141 Réponses to "Haïku de printemps (4)"
Bonjour Dominique , l´or des premières heures du matin qui se lève ,
l´éclat des rayons sur les feuilles , à travers les branches , ou sur l´eau , les scintillements du soleil qui se couche , l´or , c´est le mot qu´il fallait .
La robe irisée de la dame debout me plait beaucoup , et quelle taille
de guêpe !… Je ne retrouve pas la galerie dont parle Monique , mais je vais chercher . C´est un peintre de talent .
Oui Dominique , merci , j´ai regardé ses peintures et il a un beau bleu cobalt dans sa palette ! J´aime bien » The blue veil » , ce n´est pas facile de peindre la transparence , enfin je crois :-))
Ce Haïku là,
reflète l’ Automne,
l’ Eté … non,
déplacé il est donc,
mal venu aussi,
j’ ai dis !
la délicate contusion est choquée par de tels propos, quoi, puisqu’on vous dit que c’est l’été ! rompez !
Je n’ attendais à vrai dire, que ce Feu Vert,
pour filer à la britannique et loin en Corse,
délicate exagération !!!
Bientôt bientôt bientôt bientôt …
Absence du Virtuel et plongeon dans le Réel,
en Corse je peux et sans risque, la baignoire
est toujours pleine, point de marée là-bas ou
d’ ornières qui se vident et remplissent en
dépit du bon sens le plus élementaire, juste
fonction des pluies ambiantes et des accalmies
aussi soudaines qu’ imprévues, n’ est ca pas,
délicate inondation ?
» L´or des feuilles de l´automne « , cela se défend … LA Référence
poétique a raison … C´est juste un problème de calendrier .
Attendons octobre , et nous verrons …
OUF … Enfin quelqu’ un ici, de cohérent,
je commençais vraiment à me demander,
si essolé et gentillement, j’ étais là, on
devine en vous un (e) internaute de bon
goût, La Défense, toujours une véritable
vision des choses, en dépit des coupures
budgétaires vous concernant et que trop,
hélaaaassssss, 3 fois hélas !
Dites que je déraille, pendant que vous y êtes !!!
Et bien non, pas de train, NOT POSSIBLE !
C’ est la grève !!!
De la gomme arabique alors ? C´est ainsi que nous appelions , ma sœur et moi , la sève durcie qui sortait des sapins . Cela collait partout , aux mains et aux vêtements , mais comme cela sentait bon !…
Un loukoum pour moi aussi , merci . Je me languis de retrouver un loukoum à la noisette et un loukoum à la pistache . Quand on a commis le péché de loukoum , on veut revivre cela …
La Défense, je viens d’ être sabré, on m’ a retiré le
merveilleux Post ou ici, il était question de loukoum,
je vais de ce pas lancer une pétition, il n’ y a pas
que le soleil qui disparaît au NORD !!!!!!!!
LAMENTABLE !
Aux armes Citoyens, le Blog est en danger !!!!!!
J’ ai une sainte Horreur des Haïku !!!!!
C’ est une Hérésie poétique qui réveille en moi
des instincts insoupçonnés de retour au Classique
du genre, celui qui a fait la Renommée de ce Blog
et de par le Monde virtuel, Nom d’ un rat !
Oui , reste tranquille ! Excusi pour le tutoiement , mais la formule littéraire répétitive qui ne peut que vous calmer , s´imposait .
Mais c´est vrai ! Où sont passés les loukoums ? Mon post n´a plus de
sens ! A droite , à gauche ? Où aller ? Où ne pas aller ?…
( il me semble que c´est l´Avare qui cherche … ses loukoums ?… :-))
Depuis le temps passé à échanger, Darie,
je ne m’ offusque pas de ce tutoiement …
On a passé de bons moments ensemble
et même assez HARD, face à l’ adversité,
alors pourquoi pas ne pas en venir à plus
SOFT entre nous, n’ est ce pas, heiiinnn ?
Je sais, incorrigible que cet endémique !!!
Hi hi hi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
aïe, aïe, aïe, quoi vous avez dit hard à Darie ? et le tutoiement sans les présentations ? délicate sommation tire en l’air mais attention danger ! la parole est à la Défense justement son joli commentaire réveille des souvenirs d’enfance et des parfums d’autrefois. Comment ai-je pu oublier cette gomme arabique qu’on roulait dans les doigts….cela me rappelle aussi la gomme, maladie du cerisier à fleurs.
Au sujet des boules de gomme, elles étaient géniales,
je les achetais en allant à l’ épicerie dans le village de
ma maman en Castagniccia, il fallait marcher le long
du mur à lézards, puis en gravir un autre et monter
les marches en pierres qui dépassaient de celui ci,
puis on franchissait une petite terrasse, on passait par
le bar avec son plancher en bois qui grinçait de partout,
puis on s’ engouffrait en une petite pièce où tout y était,
rangé du sol au plafond, avec le bocal tant convoité,
juste à côté de celui contenant les sucres d’ orge !
Elles étaient servies à même un papier, 100g, 200g,
pesés sur la balance à poids et chose curieuse, toujours
il y en avait plus, c’ est que lui et moi, le commerçant,
on se comprenait et comme j’ en avais besoin pour
grandir, il m’ en offrait plein en plus !!!
Quant à beau, oui oui, elles me le disent toutes, ,
force est de le constater Dominique, pas vrai que
j’ ai raison, Monique, Darie, hein ???
Ici, délicate confrontation, dans ces commentaires, je sens comme une agressivité sous-jacente dans les échanges non standard, quoi, un mot comme « adversité » ne saurait trouver sa place dans ce bel été pourri qui s’annonce. Peut-on envisager ici de faire un haïku sérieux sans loukoum, cette pâte molle enfarinée sans aucun goût !
loukoum à la rose
je cherche ton pétale
sous l’épine sucrée.
Voilà, c’est un chef d’œuvre, alors, c’est pas beau le haïku ?
Pour moi, elle restera délicate sensation, notre picarde
d’ adoption aux relans des faubourgs parisiens, pas vrai
Monique ?
Délicate distinction préfère s’en tenir aux coquelicots, du vert de l’or et le rouge sang des coquelicots en ce 18 juin appelé, sur le calendrier républicain, le jour du charriot, aujourd’hui sont à l’honneur « la rose et le réséda »…LA Référence poétique est aujourd’hui historique…. gare au prochain haïku, il devra être sans défaut.
Délicate affirmation, si je ne l’ écris pas moi même,
cet Haïku là, il sera encore digne d’ une délicate
désintégration, c’ est encore Yannick qui vous le dis
et en cela sera une délicate attention !
Délicate intimidation, au secours, me voici maintenant
menacé et dans mon bon droit, usez de votre délicate
persuasion, pour remettre à cheval sur la poésie, cette
intrépide cavalière, qui ne semble en faire qu’ à sa tête,
alors que sans notre présence, enfin la mienne surtout,
tout apport culturel y serait ici, irrémédiablement proscrit !
Comment ?, faut pas chahuter délicate consternation de voir une si belle page culturelle vulgarisée à ce point… mais que fait la délicate modération ? l’heure est aux couleurs, le pourpre et l’or s’arrachent la saison (signé délicate contemplation- copyright et tout le st frusquin !!!)) le st-frusquin, racine du mot « frusque » en argot, est le seul saint à ne pas avoir été canonisé !
Avec votre délicate permission ,Monique , je vous rappelle la mémorable saint Glin-Glin , qu´on fête avec une brouchtoucaille et que vous nous avez transmise , bonne et vraie recette au demeurant . Cela fait 2 saints non canonisés . Et il y a même une sainte-Nitouche , cela fait le tiercé :-)))
Bonsoir Darie, oui j’avais oublié ce saint là, la st- Glin Glin, mais n’est-ce pas le cousin germain de st-cucufa.
La brouchtoucaille c’est Queneau qui se serait oublié dans le potager, le plus difficile c’est de trouver le chaudron… quelle rigolade !…. la ste Nitouche apparait au XVIe siècle entre autres chez Rabelais dans Gargantua et chez Daudet :
« La pruderie attitude est baroque. Elle est souvent celle des femmes ayant quelque chose à se reprocher et qui veulent détourner les soupçons. Le type de la sainte Nitouche est bien connu. »
Léon Daudet – La femme et l’amour – 1930. (le dictionnaire des expressions).
Reste aussi les jurons, avec ventre saint-gris !!!!…. au suivant !!
Je connaissais le Clos Nicrosi, vin blanc réputé du Cap Corse,
accompagnant crustacés poissons fins et fruits de mer, mais
alors là, celui Nitouche, non, pas encore et pourtant de là-bas
je suis, alors Dominique, situé sur l’ autre versant, nooonnn ?
Par ailleurs et là n’ y voyez pas mon côté … latin,
pour ne pas dire macho, il semblerait que là encore,
seule femme aurait quelque chose à se reprocher,
n’ est ce pas Monique, cela n’ est donc que délicate
suspicion .
Yannick , du Clos Nicrosi accompagnant crustacés et poissons de roche … C´est une délicate tentation . Vous m´en mettez un kilo de
chaque , avec la bouteille . Ce sera une délicate dégustation …
A la Midsommar , c´est le Top ! Et le délicat Topu ? Toujours aplati 🙂
Yannick, ici délicate compassion , quelle méconnaissance de la gente féminine qui n’a pas mérité cela ! quoi, la sainte Nitouche c’est moins pire qu’une Marie couche toi là et qui sait si ce n’est pas mieux que coiffer sainte Catherine, celle qui ensuite pleure comme une Madeleine ! quant à saint Nicrosi, ce blanc qu’on ne peut jamais goûter parce qu’il reste introuvable … d’abord il est sec ou un peu fruité ? c’est une question de délicate dégustation, comme le dit si bien Darie, car sans avoir le pif de Cyrano, j’ai un palais délicat pour une délicate confirmation.
Exactement , Yannick , chacun sa spécialité , il suffit de se mettre
d´accord quand on se met en ménage . Le problème , c´est qu´au début , on pardonne tout ! rire !
Mais , j´ai 2 fistons qui se débrouillent très bien devant les fourneaux .
Le hic ( encore ) , c´est que je dois tout ranger derrière eux ! Vous voyez , la complémentarité est très relative . Le délicat équilibre est fragile . ( zut , la rime ne suit pas :-))
J´ai trouvé , c´est la délicate cohabitation …
Il s’ est absenté ?
Délicate abdication, je sais !
La Modération a encore frappé,
délicate aberration, je sais !
Aussi fort que la foudre,
délicate explosion, je sais !
On devrait l’ enfermer,
délicate incarcération, je sais !
Cris et larmes demeurent,
délicate lamentation, je sais !
Olé, vous m’ entendez,
délicate audition, je sais !
C’ est bien fort que cela,
délicate intonation, je sais !
Et puis ZUT, je m’en fiche,
délicate acceptation, je sais !
Ciao ciao, bye bye, au revoir,
délicate salutation !
Il est vraiment parti,
délicate interrogation, je sais !
Oui oui, mais pas très loin,
délicate affirmation, je sais !
Il reviendra donc,
délicate ambition, je sais !
Cela m’ a donné faim,
délicate collation, je sais !
Y’ en a marre, j’ arrête,
délicate suspension, je sais !
( copyright )
Ah…. la délicate modération ! Quand va-t-elle nous laisser à nos délicates conversations … Yannick , pas d´abdication surtout , même délicate ! De Corse vous venez .
Il suffit que j’aie le dos tourné (rien à voir avec le tournedos) pour que les provocations pleuvent, une délicate conspiration. Je vous le dis, en vérité (aïe, inutile d’attendre la multiplication des pains !!!) j’ai moi aussi le dictionnaire des rimes à rien, toilé bleu de chez Larousse lequel était brun d’après les photos, et pour couper court à toute élucubration, sa femme ne s’appelait pas Julie et elle n’était pas rousse.
Tiens qui peut me dire la différence entre la roussette et la saumonette ? hein ??? ah, ah !!
La roussette en Corse est un tout petit requin,
non agressif envers l’ homme et d’ un point de
vue comestible, ne mérite pas l’ assiette, tout
juste bon à laisser nager tranquille, d’ ailleurs
si pêché, il est aussitôt rendu à sa mer, comme
quoi, nous ne sommes pas des monstres !
Yannick, mais le petit requin sans importance en question coûte quand même dans les 15 euros le kg chez le poissonnier, il est apprécié parce qu’il n’a pas d’arêtes. N’est-il pas appelé aussi « chien de mer » ?
En Corse, il faut savoir Monique, que pas tous les poissons
pêchés ont du succès auprès des consommateurs, ainsi
en est il de votre york des mers, de la raie ou même des
maquereaux, chez nous d’ ailleurs on apprécie ceux ci,
mais qu’ à Marseille, Lyon ou Paris, celui de Pigalle étant
je crois le plus connu et depuis, aux Baumettes aussi, on
doit le trouver, mais sous clef, de peur de le voir repartir
vers des eaux troubles encore !
A une époque pas si lointaine, le homard lui même était
rejeté à l’ eau par les pêcheurs, les corses ne dégustant
que la langouste ou la cigale de mer, alors non en voie
de disparition …
Enfin pour vous dire, la Mer Méditterranée offre bien des
poissons inconnus sur les côtes de l’ Atlantique ou de la
Manche qui sont succulents et peut être du fait qu’ elle
est plus iodée, puisque baignoire des Civilisations, elle
est plus fermée que d’ autres !
Au moins dans … U topu … l’ endémique ratounet rose,
il n’ y a pas … d’ arrêtes !!!!!!!!!!!!!!!
Bonjour Dominique , vous êtes indulgente avec le topu endémique …
Si cette petite roussette n´est pas bonne à manger , le mérite n´´est pas grand à lui laisser la vie sauve … Il y a des langoustes , si elles étaient encore vivantes , qui maudiraient les sauces au beurre et le Nicrosi :-))
La langouste au beurre, hi hi hi, pas chez nous !!!
Braisée avec une sauce composée à l’ aide de son corail
ou bouillie avec de la vraie mayonnaise, voir nature aussi,
tant dés qu’ elle ose sortir de l’ eau, elle n’ a besoin de rien
et dévorée à poil elle est, juste a t’ elle le temps de retirer
sa serviette de plage !!!
Bonjour les poètes,
C’est aujourd’hui l’été donc le haïku du printemps est déjà du passé, nous allons inexorablement vers les verts grillés et desséchés, les ors rouillés, je rêve de pois de senteur et de pivoines échevelées, il m’en reste quelques-unes et quel parfum. Je ne saurais dire pourquoi, mais je n’aime pas l’été qui rafle les couleurs du printemps….. reste les roses heureusement…. c’était délicate incantation.
Après ce cours sur les poissons et crustacés de la mer, passons au vrai sujet : la Corse … non l’été veux-je dire. Pour répondre à Dominique, c’est incroyable mais l’œillet est à peu près la seule fleur que je n’aime pas, encore moins son parfum qui fait toilettes. Ce n’est pas juste car l’œillet est beau mais rien à faire, c’est épidermique. C’est vrai qu’on n’en trouve plus depuis un certain temps. A la boutonnière, il était du dernier chic comme les violettes dans les décolletés, mais depuis une certaine révolution nous lui avons préféré les fados et le Porto.
Oui, ceci est un peu une élucubration mais notez que tout se rejoint : c’est l’été, on le fête en buvant un porto au milieu des fleurs… le sujet est respecté.
Dominique est donc « La dame aux œillets », j’ai beaucoup aimé Cronin en son temps et c’est bien un roman britannique…
Oui, Yannick, c’est cela la bière Kronembourg est fabriquée au château de Koenigsbourg au Luxembourg ! maître Kronembourg (Kronambar pour les intimes) portait une veste à brandebourg du même nom que la porte du faubourg… bien sûr, ceci est un calembour mais reconnaissez que c’est plus difficile de trouver des rimes en « our » que des rimes en « tion » …. et dans tout cela, que devient l’été ?
Monsieur Cronin n´a pas fait de bière , Yannick , mais vous , vous pouvez si l´envie vous en prend . J´ai vu cela à la TV , un couple qui
qui brassait sa bière dans sa cuisine . Mon beau-père faisait du cidre et du vin de groseilles/cassis . C´était drôlement bon ! Et mon frère , du vin de noix . Et le vin de châtaigne corse ? Combien de litres faites-vous ?
Bonsoir Darie …. et le vin d’orange ? excellent. Nous voyons dans les grandes surfaces des vins avec pamplemousse, ou framboise, ou fraise on dirait que ça marche. Un créneau commercial qui est peut être fait pour déculpabiliser ceux qui consomment du vin ! je ne connais pas le vin de châtaigne.
Moi non plus !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Moi non plus ! je comptais sur le connaisseur de la Corse profonde pour nous en parler . Rire . Le vin de noix chez mon frère , se fait par tradition , à une date précise , le 14 juillet je crois ( je vérifierai ) .
C´est fait avec des bogues et des noix vertes , et malgré cela , il parait que c´est bon ! Il faut donc , Yannick , faire le test avec les châtaignes ,
dans leurs piquants , bien entendu …
Monique , un vin d´orange , cela doit être rafraichissant en été , sous la tonnelle , avec des …canistrelli à la fleur d´oranger …
Darie, le vin d’orange délicieux que j’ai goûté c’était au Lavandou il y a longtemps, dans une petite pension de famille qui le faisait elle-même. J’ai cherché depuis mais je n’ai jamais retrouvé le goût de celui-là. Il se buvait en apéritif et c’est vrai qu’il était rafraichissant sous le soleil, inoubliable. Le vin de noix doit être sirupeux ?
On voit bien là les habituées de l’ alcool à forte dose,
pour elles je préconiserai un régime strict cet Eté en
terrasse, Orezza pétillante avec quartier de citron frais
ou Zilia rafraichissante plate, ou si vous trouvez que
bien sectaire je suis, Plancoët de Bretagne, vous ne
pouvez pas vous tromper, il n’ y en a qu’ une, le tout
bien sur, accomodé de petits cubes glacés que vous
devez posséder en votre réfrigirateur ou dans le jardin,
pour Darie, il lui suffira alors de faire peur aux blancs
nounours qui y cohabitent avec les phoques, fichus
vikings !!!
Nous faisons de la liqueur de chataigne, si si, j’ en ai vu,
mais alors, du vin non, de pêche, d’ orange d’ autres encore,
mais cela n’ a rien de typique, puisqu’ on les trouve aussi
ailleurs, en Corse, vin cuit Mattei Cap Corse au quinquina
en apéritif, liqueurs Cédratine et Myrthe au digestif, il existe
là aussi d’ autres variantes, arbouse, mandarine, chataigne
donc, maquis, etc etc, puis un peu aprés de cet eau de vie
traditionnelle et artisanale à décorner nos chèvres !
Au dessert un Limoncellu aussi, citron avec alcool à 90 %
que l’ on peut se procurer sous condition en pharmacie
et que l’ on place dans le congélateur .
Sans omettre pour les gosses et le ratounet rose,
nos sirops de grenadine, menthe, citron et orgeat,
ici, meilleurs qu’ ailleurs, comme il se doit !
HIPS, oups oups, beerrrcckkk, gloups gloups …
L ‘ a bien raison, le rongeur, tin, remets nous en
une linchette, qu’ on s’ rince la dalle, yééééééé !
Venant de Monique, je suis là, plus que surpris,
ne trouvez vous pas, délicate constatation ?
Tu sais c’ qu’ elle te dit monique, le raton ???
Et cette Napoléon … elle vieeennnttt ???
Glou GLO glou … Yep yep … HIPS !
M’ enfiiinnn … Dominique !!!
Qui aurait cru, la Culture est là et bien au fond du verre,
incroyable, si si, mais notre délicate substitution, ne
serait elle pas devenue … une éponge ??????
Et qui suis je d’ autre ???
J’ m’ appelle bien Monique, non ?
Mets tes lunettes, à moins que le SDF
te les aient avalé encore !!!
Je suis de Paris et là, je suis en retraite
dans le pré aux biques et de bouquiner
j’ adore !
Ca t’ va comme preuve ?
Le fil du haïku , au 103ième commentaire est gardé ! incroyable !
Nous en arrivons à » l´or de la liqueur de chataigne corse » …
Bravo , Dominique , de maitriser la situation aussi bien :-))
Elle n’ a pas le choix la pauvrette, Darie,
sinon, hi hi hi, 2 claques, non mais !
Tiens un Haïku encore :
Clac clac !
Aïe, aïe, aïe,
Ouille !!!
Non non, assez,
CHTOP !
STOP ! il est parfaitement dommageable pour cette belle page harmonieuse de charme et de couleurs, de rires et de sourires contenus, de paroles devinées, de gestes gracieux, de féminité pure, de lire de pareilles onomatopées sorties d’une bulle de BD. C’était le point de vue de délicate consternation.
Il est bien vrai que féminines nous sommes et que par là,
nous sommes toutes dignes d’ égards et d’ attentions, en
ce Monde de muffles et de goujâts !
Ce gamin ou rongeur a semble t’ il dépassé les limites
du Virtuel et de le recadrer en Réel, je vais m’ en charger,
dés que ce p… de cleps aura cessé de fouiller dans mon
sac et de mordiller mon bâton de rouge à lèvres , je crois
bien que lui aussi, il doit être un mâle pour être aussi
pénible, approche Irvin, vite vite, que je vérifie, avant de
traiter le raton rose comme il se doit !
Yannick , le citron confit dans les vapeurs d´alcool , c´est ce que j´ai
vu un jour , toute petite ( 4-5 ans ) dans un placard . Et j´ai demandé à ma mère ce que c´était . Et ma mère a répondu : » C´est un pendu !!! »
Je n´ai plus jamais osé ouvrir ce placard :-))))))
C´est drôle comment les adultes n´arrivent pas à se mettre à la place
des enfants . ( ma mère avait l´excuse de son jeune âge …)
Je me disais aussi que Monique avait un langage plus châtié que
» hips et houps , et aboule une Napoléon » .
Qui l´eut cru ?… Eh bien , moi . Je suis tombée dans le piège à pieds
joints :-)))
Ce ratounet est un plaisantin qui s’ ignore, Darie,
mais je vous rassure, Dominique aussi, hé hé hé !
On a beau avoir 2 hémisphères, si si, les femmes
vous les avez, dit on, mieux vaut un qui fonctionne,
comme nous, que deux qui roupillent !!!
Cela faisait bien longtemps qu’ à ce petit jeu,
je n’ avais plus joué !
Mille excuses, délicate distraction !
Docteur Yannick et Mister Topu ?… Quel est celui qui va à la pèche
à la palengrote ?… Les deux ? D´áccord …. Alors quel est celui qui attrape les poissons , et celui qui les achète au large , à celui qui les attrape avec sa palengrote ?
A vrai dire, Darie, je les pêche à la palengrotte et moi même,
quant à les acheter aux Pros et en mer, avant de regagner
la terre, non, il y irait là, de mon amour propre, non mais !
Et puis, si si, pêchés par soi même, ils sont encore meilleurs,
demandez donc à Joséphine, la mouette qui nous suit chaque
sortie, l’ Eté, elle a l’ occasion de goûter à ce qu’ elle ne
connait pas, du poisson frais provenant de 70 à 100 m de
fond, elle en rat fol, tiens… un cousin, un peu fada celui là …
A propos de Corse et de Joséphine , question-piège : est-ce que Joséphine Bonaparte est allée en Corse dans sa vie ? ( je pense que non , mais est-ce exact ? )
» Palengrotte » t non pas » palengrote » … je notte …
A ma connaissance, du tout, pas même Marie Louise,
mais Napoléon a eut tout de même un amour en Corse
dans sa jeunesse, qui fut contrarié par la famille de sa
» fiancée » de l’ époque, il n’ était que jeune Officier et
comme enfant d’ une famille nombreuse et modeste,
cela ne plaisait pas plus que cela, vous savez, même
en Corse, certains ont courte vue sur tout et mal leur
en a pris, mais cela est une autre histoire qui dans
l’ Histoire, celle avec la majuscule, n’ a laissé aucune
trace indélébile !
Attention, il y a usurpation d’identité, quoi quelqu’un parle à ma place ? mais le logo trahi son auteur, hein, l’ami corse, on n’hésite pas à tromper les (nombreux) visiteurs de ce forum sur l’été ? de l’eau plate, quoi ? avec les poissons ? mais autant boire l’eau de la rivière avec la truite ?
Je voudrais mettre les choses au point, oui, chez moi l’alcool à 90° sert à la désinfection des bobos et rien d’autre. Pour ce qui est de la « désaltération » je préconise un demi panaché bien frais, c’est délicate dégustation qui vous parle en connaisseur sinon, le remplacer par une délicieuse limonade.
Attention, une nouvelle intrusion serait passible du supplice de Fernandel dans François 1er… ah, ah, là il n’y a plus personne !
C’était la minute de délicate compilation.
La langue de chèvre sous la plante des pieds,
autant que je me souvienne, à mourir de rire,
mais moi, délicate évocation j’ opterai là, pour
une option disons bien plus actuelle, comme
par exemple et tout à fait par hasard, ce
gratouillis de dos, démentiel en tous points,
qu’ en dites vous, n’ est ce point là une
une délicate suggestion, pouvant mettre fin,
à une si originale et délicate fiction ?
Oui Yannick, ce que j’ai pu rire aux larmes avec ce film et on ne s’en lasse pas. Euh, pour le gratouillis sur le dos je n’ai pas d’expérience réelle mais pour le moment j’ai des ongles longs, ce qui ne saurait durer, foi de délicate interrogation.
J’ crois bien les copains, qu’ ici, j’ vais me lancer dans
le Haï coup double, si si, z’ allez voir, ça va vous botter
et pas en touche, histoire de relancer un poil de ratounet
ce Blog, visité par quelques 100 000 lecteurs et de toutes
nationalités, si si, il y a même des gens du Nord, de Corse,
d’ Aquitaine, de Bretagne et d’ ailleurs, des étrangers vous
disais je et pour l’ un d’ entre eux, l’ endémique, même à
la Poésie, si si, mais que voulez vous, il est là, alors, nous
faisons avec, yep yep yep … Irvin, nooonn, pas la TV,
s’ il te plait, nous n’ en avons qu’ une !!!!!!!!!
Vous n´êtes pas Dominique ! Dominique vouvoie Irvin . Exemple :
» Irvin , my dear , could you be nice enough to let my telecommande
on the table , please ? Good boy ! «
Bon, je ne parle pas aux faux, na ! oui, vite un ménage que cette page retrouve sa vocation et passons au haïku d’été ! comment, il n’est pas prêt ? Irvin, tu veux bien rendre le papier et le crayon à Dominique sinon, à défaut de frein, je ronge ton os.
Darie, Dominique, Marmara, Monique, enfin à celles qui le plus
fréquemment sévissent par ici, je me permet de vous saluer et
de vous faires de grosses bises virtuelles, en attendant de vous
croiser à nouveau et ce, début Août, pour de nouvelles aventures,
car ailleurs, je ne sais si un tel commentaire, empli de sous
entendus et indélicatesses, n’ aurait pas été une fois de plus
» Refusé « , hélas !
Yannick , hello . Belissima Corsica vous tend les bras . Nous arroserons les géraniums de A Topette ( la pluie… ) comptez sur nous ! Bonnes pèches et bonnes baignades . Et n´oubliez pas
d´emmener A Topette voir le retable de saint Jean-Baptiste . Il
n´y a pas que la Piétri et les potes dans la vie :-))
Bonu suggiornu i Corsica . (maintenant , je parle corse couramment ! 🙂
1 | Monique
15 juin 2014 à 21 h 27 mi
Je ne connaissais pas ce peintre, faire un tour dans sa galerie est un régal. Un peu de Monet, un zeste de Manet, ces impressionnistes nous impressionnerons toujours.
Les couleurs poussent les saisons et changent les paysages, les moissons de juillet emporterons les coquelicots du printemps en attendant les vendanges de septembre.
Dominique
15 juin 2014 à 22 h 00 mi
Elles sont belles vos lignes , chère Monique.
Les impressionnistes américains sont moins connus de nous et c’ est dommage.
Edmund Charles Tarbell en fait partie.
Les saisons par leur prévisibilité pourraient être, au fond, banales, mais chaque année, d’ une année sur l’ autre, l’ émerveillement, les émotions sont intactes !